La psychothérapie familiale couvre à la fois la psychothérapie de couple et la psychothérapie parents – enfants.
L’intérêt de la « thérapie indirecte » en psychothérapie familiale
Dans le cadre de la thérapie systémique, je peux recevoir les 2 personnes du couple, toute la famille mais aussi 1 seule personne : la plus mobilisée pour le changement, soit du fait de sa motivation, soit du fait de sa souffrance. On parle alors de « thérapie indirecte » car c’est par l’intermédiaire d’une seule personne du « système familial » que le changement va s’opérer sur l’ensemble de la famille.
Ces thérapies indirectes sont assez courantes pour la psychothérapie de couple (violence conjugale) ou le coaching professionnel (harcèlement). Elles peuvent également être utiles pour la psychothérapie parents-enfants pour éviter qu’un enfant jeune soit suivi trop tôt ou trop longtemps. Le parent le plus disponible ou le plus mobilisé devient alors le co-thérapeute et va, par l’intermédiaire du thérapeute, modifier ses réflexes et comportements, et par ricochet, ceux de l’enfant ou de l’autre parent. Donc n’hésitez pas à consulter, même seul, pour les thérapies de couple ou les thérapies parents – enfants.
- Séparation, divorce ou familles recomposées : mal-être ou conflits
- Usure du couple, conflits répétés liés au couple ou à l’éducation des enfants
- Jalousie excessive, infidélité
- Dépendance affective
- Troubles sexuels féminins ou masculins
- Difficulté de couple lié à l'infertilité, à la gestion de la PMA
- Violence conjugale
- Séparation, divorce ou familles recomposées : mal-être ou conflits
- Epuisement parental
- Conflits répétés liés à l’éducation des enfants
- Jalousie excessive (parents & enfants, frères & sœurs)
- Manque de confiance en soi, timidité excessive
- Hypersensibilité, hyperactivité
- Stress, anxiété, insomnie, dépression
- Idées noires
- Phobies (examens, animaux, transports)
- Addictions, obsessions ou TOC
- Troubles alimentaires (anorexie, boulimie, vomiting…)